L’une des formations françaises les plus réputées, couronnée de plusieurs prix, met sa devise « ardeo » (« je brûle ») au service de Mendelssohn et Dvořák.

Programme :
Mendelssohn : quatuor op. 44 n°1 en ré majeur
Dvořák : quatuor n°12 en fa majeur op. 96 « Américain »
Le quatuor op. 44 n°1 de Mendelssohn, qui n’est pas sans rappeler sa célèbre Symphonie italienne, reflète par sa fougue l’activité intense du compositeur au cours de l’année 1838 particulièrement heureuse et productive pour Mendelssohn, qui correspond à la naissance de son premier enfant.
Il y a plus d'un siècle, Dvořák fut peut-être le premier compositeur en contact avec l'esprit et le folklore américains, lors de son séjour entre 1892 et 1895. Heureux de retrouver le chant des oiseaux à l’occasion de vacances dans un paisible village de l’Iowa peuplé de colons provenant de sa chère Bohême, c’est loin de l’agitation urbaine new-yorkaise que Dvořák trouve l’inspiration pour son « Quatuor Américain » qui évoque l’Amérique mais aussi la nostalgie à l’égard de son pays natal.

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