L'artiste propose un ultime dispositif où des matériaux « ressourcés » sont réinvestis et composent une nouvelle architecture de la ruine.

La pratique artistique de Nicolas Daubanes déploie une recherche polymorphe où les acteurs d’une histoire intime ou globale sont interrogés, et la dimension mémorielle essentielle. Une attention personnelle de l’artiste envers la condition humaine ancre son œuvre plastique dans une saisissante qualité politique et sociale.
Depuis 10 ans, Nicolas Daubanes conçoit un corpus d’œuvres nourries de plusieurs résidences réalisées en milieu carcéral. Une «morsure» s’ajoute au métal de portes antérieurement tatouées des strates temporelles de l’incarcération. L’ensemble détermine un paysage fragilisé prêt à disparaître, mis en tension avec les propres traces de l’espace d’exposition au cœur du bâtiment de la Petite Écurie.
Sur réservation par mail :
Visite commentée : 1h, 50 € / Visite et atelier d'expérimentation : 2h, 100 €

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