Cette oeuvre comprend sept mouvements, les trois premiers insistant davantage sur les souffrances et l’incertitude de la vie humaine et les quatre
autres dépeignant le bonheur de la vie éternelle ; les deux
mouvements extrêmes, qui utilisent un matériel mélodique
presque semblable, commencent par le mot selig (heureux),
ce qui indique assez bien la tonalité générale de l’oeuvre.

Interprétée par l'ensemble vocal Les Harmoniques et la Maîtrise de Notre-Dame de Versailles, direction J.-F Frémont. Avec Béatrice Gobin et Matthieu de Laubier (solistes), Matthieu Jolivet (orgue).